Sphaerodomites ? puellaris (de Loriol, 1898)
1898. Oppelia ? puellaris , de Loriol, p. 60 ; pl. V, fig. 1 ; Textfig. 23.
Etymologie : puellaris (latin) = tendre, délicat, innocent ; puellaris (Latin) = miękka, delikatna, niewinna ; puellaris (Latin) = soft, delicate, innocent ; puellaris (Latin) = weich, zart, unschuldig.
Coquille de petite taille, aussi épaisse que large, très étroitement ombiliquée, renflée. La plus grande épaisseur se trouve au pourtour de l'ombilic. Les flancs sont convexes et s'abaissent graduellement pour se confondre avec la région siphonale qui est large et régulièrement arrondie. La surface paraît lisse, on distingue, cependant, des traces de côtes rayonnantes, flexueuses, à peine sensibles. Ombilic très étroit, profond, arrondi au pourtour. La dernière loge existe encore, en partie du moins ; elle ne présente rien de particulier. La division de la suture des cloisons (fig. 23) ne sont pas bien compliquées ; le lobe siphonal est large, court, terminé par deux branches courtes et peu divergentes ; lobe latéral supérieur notablement plus long et trifurqué, la branche médiane est plus longue que les deux autres ; lobe latéral inférieur relativement très écarté du supérieur, beaucoup plus petit et également trifurqué ; un et peut être deux lobes auxiliaires. Les selles sont larges ; mais la latérale supérieure l'est moins que les autres. L'ouverture proprement dite n'est pas connue ; la coupe du dernier tour est arrondie, aussi haute que large, très échancrée par le retour de la spire.
Rapports et differences. Je ne connais qu'un seul exemplaire de cette petite espèce que je ne puis rapprocher d'aucune de celles qui sont déjà décrites ; une portion de la dernière loge manque certainement, du reste il est bien conservé. Ce n'est qu'avec doute que je la rapporte au genre Oppelia.
Localité. Châtillon, Collection. Koby
+++++++++++++
1900. Oppelia ? puellaris de Loriol, de Loriol, p. 53.
Un exemplaire de 15mm de diamètre appartient certainement à cette espèce. Il en présente fort exactement tous les caractères. Comme dans le type une partie de la dernière loge est conservée. La ligne suturale des cloisons n'est visible qu'imparfaitement. Ce qu'on peut en distinguer est semblable au dessin que j'en ai donné. Je n'ai rien à ajouter à ma description.
Localité. Champagnole-Montrivel.. Collection. Girardot.
+++++++++++
2002. Sphaerodomites ? puellaris (de Loriol), Marchand & alii, p. 472, pl. 1, fig. 7.